Le mercredi 6 novembre 2024, Baltasar Ebang Engonga, surnommé « Bello » en Guinée Équatoriale, a été révoqué de ses fonctions de directeur de l’Agence nationale d’investigation financière par décret présidentiel.
Cette décision fait suite à la découverte de 400 vidéos compromettantes, tournées à des dates inconnues, dans divers lieux, y compris son bureau au ministère des Finances. Ces vidéos au cœur de l’affaire Baltasar Ebang Enonga. impliquent différentes partenaires, dont certaines seraient des épouses de dignitaires locaux de la Guinée équatoriale. Les sanctions liées à cet incident sont tombées le lundi 06 novembre 2024.
« Aujourd’hui, nous allons procéder à la suspension immédiate de tous les fonctionnaires qui ont eu des relations sexµelles dans les bureaux des ministères du pays.
Le gouvernement prendra des mesures sévères contre ces actes, car ils constituent une violation flagrante du Code de conduite et de la loi sur l’éthique publique.
Cette action constitue une étape décisive dans notre politique de tolérance zéro envers les comportements portant atteinte à l’intégrité de la fonction publique.
L’éthique et le respect sont fondamentaux dans notre administration, et nous ne permettrons pas qu’un comportement irresponsable compromette la confiance des citoyens.
La responsabilité et le professionnalisme doivent être les piliers de notre travail en tant que serviteurs de l’État », peut-on lire dans la sortie du gouvernement sur l’affaire Baltasar.
Ce scandale a secoué la nation, mettant en lumière des questions de moralité et d’abus de pouvoir au sein des hautes sphères du gouvernement.
Luc 8:17 – Car il n’est rien de caché qui ne doive être découvert, rien de secret qui ne doive être connu et venir au grand jour.